Une petite carte de voeu pour luna, notre si généreuse animatrice de SAL

modèle de... ?

et un marque-page avec un autre modèle d'Aurore

Commencé en... 2011

... prête pour ... 2014 !

Je sais comment le finitionner... mais pas le temps en ce moment

Promis, il sera prêt pour noël 2014 aussi !

Enfin finitionné en protège carnet de santé et envoyé...

Deux courts textes, deux pans d'histoire, aucun rapport sinon qu'ils sont écrits par deux femmes, qu'ils parlent de personnes proches, surtout d'hommes, deux écritures si différentes...

Jusqu'où faut-il remonter pour trouver la source d'une tragédie personnelle ? Aux mensonges de la guerre à la génération des grands-parents ? À ceux de mon « héros » de père, parti à la conquête du sommet mythique de l'Annapurna en 1950 et laissant dans les cimes de cette ascension glorieuse une part de lui-même qui le rendra perpétuellement metteur en scène de sa légende ? À la liberté d'une mère séductrice et moderne, trop intelligente pour son temps, trop rebelle pour son milieu ? À la fraternité fusionnelle et rivale de deux « enfants terribles » élevés dans une solitude commune et dans le culte de l'exploit ? Toujours est-il que mon grand frère Laurent, promis à un destin magnifique, finira en vagabond des étoiles hirsute et fou, retrouvé par la police après des mois de fuite... jusqu'à sa chute prévisible. C'était lui ou moi : ce fut lui... Ce roman de notre fraternité blessée, je le lui dois. F. H.

Le héros n'est pas le père, mais le frère... Règlements de compte avec le père, la mère, tous les adultes de cette, ces famille(s)...

Une écriture hâchée, dure ; bien des impossibilités gênantes... J'espère que ce livre aura au moins été une bonne thérapie pour l'auteure...

Peu plaisant à lire : pour les gens de ma génération, juste pour voir...

Ce jour de l’été 2011, pour la première fois depuis mes quinze ans, j’ai cessé d’écrire. Plus rien ne me venait, ni courrier, ni journal, ni texte littéraire… Ecrire m’était devenu impossible, j’avais la gorge nouée. Que s’était-il passé qui puisse justifier cet étranglement ? Ce subit refus de continuer ce qui, jusque-là, faisait ma vie, l’écriture ? La réponse m’apparut comme évidente : le dimanche 24 juillet, à l’hôpital de Fécamp, David était mort. Mort, le mot lui allait si mal. Même quand j’ai su qu’il rechutait, six mois plus tôt, je n’y ai pas cru, David, mon « fils de cœur », allait à nouveau trouver des solutions à son mal. Aujourd’hui, si je m’y remets, serait-ce que David attend de moi que j’écrive sur lui, puisque tel est mon seul savoir-faire ? Je sens en tout cas, que je ne pourrai recommencer un texte qu’après avoir transcrit ce que ce « fils » disparu a été pour moi, ce que nous avons vécu en commun, ces rares moments qui n’ont été qu’à nous deux. Sans que cela ôte quoi que ce soit à aucun d’entre les siens, proches ou lointains. Voici donc ce que j’ai vécu d’unique avec David.

Un texte plein d'amour, d'admiration et de respect d'une non-mère pour un fils-de-coeur.

J'aime l'écriture de Madeleine Chapsal...

Le destin incroyable d’Angélique : une jeune fille aussi belle qu’insoumise, qui trouvera dans son amour pour Joffrey de Peyrac la force de combattre l’injustice et la tyrannie dans un siècle en proie aux luttes de pouvoir, aux inégalités et à l’oppression…

Nous connaissons tous

j'étais très curieuse de voir ce que cela pouvait donner aujourd'hui...

Pas de déception franche, c'est autre chose, un autre point de vue, de belles images : on se laisse prendre

même si Nora Arnezeder n'a rien de la pulpeuse et fougueuse Michèle Mercier et si Gérard Lanvin n'a pas le magnétisme de Robert Hossein....

Dis, madame la télé, tu nous repasses notre Marquise des Anges pendant ces fêtes de fin d'année ?

c'est le jasmin d'hiver qui me le dit

J'ai hâte de voir toutes ses petites fleurs jaunes !

Comme le sapin était dehors,

dans la tempête...

le père noël a déposé les paquets au pied du jasmin-sapin

Vous avez noté la bonne résolution qu'il m'invite à prendre ?

Et comme toute chose a une fin et pas que la cigarette c'en est terminé des petites surprises quotidiennes

le support est un magnifique tissu, cadeau de Simone

Joyeux noël !!!

Cette année, la crèche s'est agrandie :

je voulais de la musique alors un violoniste, un accordéoniste et une joueuse de vielle sont venus rejoindre les joueurs de flûte et de tambourin...

il fallait un nouvel ange pour chanter dans les campagnes...

le travail de l'homme est honoré par un potier et un bêcheur...

une petite flamme brille près de l'enfant...

et Saint Nicolas s'est invité au dernier moment !

Tout cela parce que noël ce n'est pas le gros bonhomme rouge

mais bien le petit enfant né humblement dans une crèche

modèle de Stickeule

les rennes vont bien finir par démêler leurs bois pour aller assister le père noyel et venir remplir mon petit sac...

Nous sommes le 23 et nous devons montrer notre avancée du mois de décembre.

Pas beaucoup de bidouillages par ici ou seulement quelques "chut"...

Alors, une petite rose rien que pour toi, Bétyle, pour te remercier pour ce beau défi dirigé de main de maître dans un gant de velours

Il me reste encore bien du travail avant d'atteindre l'objectif que je me suis fixé en début d'année...

seulement six pages... et même pas toutes terminées...

Voilà mon défi pour 2014 :

terminer même sans les rendez-vous mensuels avec Bétyle...

Vous me le rappellerez ?

Une semaine de petites surprises concoctées par l'Atelier 196

Merci Clairette, Françoise, Luna, Mamie Dany, Méli, Michèle, Nathalie, Ran_tan_plan, Simone et Simone, Solange...

ou atelier clandestin ?

surtout un beau moment de partage

Nous avançons doucettement avec Chat Bleu