Ah, Marguerite...
Voici les deux belles vaches brodées par Simone prêtes pour la vente du 11 avril
Pensez à vos tickets de tombola
et préparez votre liste d'achats !
Jeu de lettres chez Lady Marianne
Lady Marianne donne le jeu le lundi et on publie le dimanche.
Principe de ce jeu trouvé chez Mamie Dany :
avec les lettres proposées, il faut faire des mots de 5 lettres au moins, et au moins 5 mots, puis les inclure dans un texte (sur le sujet, mais ce n'est pas obligatoire ) Si on ne fait pas de texte, il faut trouver le plus de mots possible.
lettres de cette semaine FFBAEIOLLLERM
en forme d'éventail comme ce cochleanthes flabelliforme
Avant d'aller à la foire, nos deux zingari s'arrêtent près d'une ferme. La jeune fille cherche un peu d'ombre près d'un arbre flabelliforme.
Non loin, un merle fait le mariolle en frôlant une abeille juste au-dessus d'une folle plante ombellifère bariolée (une berce des prés aux fleurs en ombelle).
Toute une famille sort de la ferme. Ambre et Florella s'approchent d'Irina dont une larme brille. Une lui offre une fiole de sirop d'érable, l'autre une boille de jus de mirabelle.
Effaré, Fabio découvre son cheval qui, affolé, s'emballe alors que Nizar le filme sans se méfier. Fabio braille à l'oreille de Nizar de filer au plus vite près de sa belle si blême d'effroi. Puis il moraille l'animal. L'animal morfle, mais la situation s'améliore et il le libère enfin. Il va pouvoir le brêler.
Fabio n'aura plus qu'à blâmer Nizar et à lui faire la morale....
Un peu tiré par les cheve(a)ux...
Je voulais absolument caser "morailler" même si ce n'est pas un mot gentil...
Et vive internet qui permet de trouver les mots !
Désolée si
Instant de mars
"L'hiver sous toutes ses formes où bon vous semble"
Chat bleu nous propose pour ce mois de mars :
"Le printemps est de retour"
Voyez-vous les bourgeons du lilas qui prend conseil auprès des forsythias ?
Mais, le printemps, cela peut être aussi ces beaux canards qui se reposent au soleil...
Patch mystère
étape 2 : première ligne
C'est pas gagné :
je ne sais pas mesurer
je ne sais pas tracer droit
je ne sais pas découper sur un trait
je ne sais pas coudre droit
...
Mais je m'amuse et vais attaquer de ce pas la ligne 2
Merci Méli d'être patiente avec moi !
Gang Gorjuss 1
Une commande
Salon de Champs sur Marne
Une très belle exposition, bien présentée
le coin des bretons, très actifs ici
de nombreuses enveloppes brodées et deux magnifiques tabliers
des modèles bien tentants
un clin d'oeil à Simone qui trouvera toute seule...
dommage qu'il n'y ait ni le nom des brodeuses, ni les références des grilles...
un casier d'imprimeur qui nous a rappelé que nous avons ce projet commun depuis plus de deux ans...
un achat raisonnable à la mercière de notre ville à l'initiative de ce salon
PS : j'ai un nouveau téléphone qui fait de bien meilleures photos quand... j'arrive à le manipuler ! Pas gagné, mais je me soigne...
Allez voir les belles photos chez Brigitte
Jeu de lettres chez Lady Marianne
Lady Marianne donne le jeu le lundi et on publie le dimanche.
Principe de ce jeu trouvé chez Mamie Dany :
avec les lettres proposées, il faut faire des mots de 5 lettres au moins, et au moins 5 mots, puis les inclure dans un texte (sur le sujet, mais ce n'est pas obligatoire ) Si on ne fait pas de texte, il faut trouver le plus de mots possible.
lettres de cette semaine Z G A I N I R
ZINGARI
Un des noms de la race à laquelle appartiennent les vagabonds connus sous le nom d'Égyptiens ou de Bohémiens. Littré
Marc Zinga jouera le rôle de Nizar, jeune homme aigri qui retrouvera du zing* afin de séduire la belle Irina.
Grâce à son petit grain de folie, Nizar saura se faire accepter par tous les zingari qui protègent la belle de tout ce qui est extérieur à leur mode de vie vernaculaire. Le jeune couple se verra offrir un mobil-home, écolo mais bien garni, et partira à l'aventure sur les routes...
* énergie
La coquine !
Des nouvelles de ma PAL
Des lectures très variées pendant ces trois derniers mois
La maison familiale au Maroc, lieu de l'enfance et des souvenirs, elle n'y passait plus que des vacances... Rosa l'a quittée il y a vingt ans pour faire un beau mariage en métropole, au milieu des années cinquante, au moment où l'Histoire a changé la donne. Alors quand Egon, son second père, meurt, ce retour aux sources ne peut être que bouleversant. Chaque objet échangé avec sa vieille nourrice ou sa volubile marraine, réveille un nouveau fantôme. Face au passé, à ce deuil qui fait écho à d'autres deuils, à la transmission inattendue de secrets de famille, ce sont ses propres choix de vie qu'elle va comprendre peu à peu et remettre en question...
Une histoire de femme(s), d'origine(s), d'enfance et de fidélité dans un pays chaud, lumineux....
une belle écriture
J'ai beaucoup aimé.
Comment fabrique-t-on les mots ? Jeanne, l'héroïne de La grammaire est une chanson douce, a sa méthode : pour expliquer, elle raconte. Il était une fois un dictateur qui trouvait son pays trop bavard. Il était une fois le Capitan, vieux navigateur et collectionneur de dictionnaires. Il était une fois deux sœurs virulentes, l'une aimant le grec et l'autre militante du latin. Il était une fois un trafiquant d'oiseaux rares. Il était une fois un café où les couples se réconcilient, au lieu de divorcer. Il était une fois une mine d'or abandonnée... Nous avons créé les mots. Et si les mots, à leur tour, nous inventaient ? E. O.
La Fabrique des mots clôt la balade d’Erik Orsenna au pays de la grammaire et du vocabulaire.
Orsenna travaille le français au corps, livre après livre, pour le rendre aimable à tous. Il a fabriqué son ouvrage tel un artisan. En un mot, c’est super. Philippe Trétiack, Elle.
Après La grammaire est une chanson douce, Les Chevaliers du Subjonctif, La révolte des accents et Et si on dansait... on se lasse un peu... Je me demande toujours, en lisant ce genre de texte, à qui il s'adresse : aux enfants ? aux ados ? aux adultes ? ou... aux profs de français ?
Cela se lit vite. C'était bien de faire le tour....
Devenir grand-mère aujourd’hui, c’est se sentir habitée d’une énergie nouvelle, c’est vivre un « deuxième printemps ». C’est aussi, plus qu’on ne le croit, un moment de fragilité et de transformation intérieure, et la parole est capitale pour que chacun trouve sa place dans la famille : les grands-parents, les enfants devenus parents, les gendres, les belle-filles et, bien sûr, les petits-enfants. Les grands-mères d’aujourd’hui sont devenues des « passeuses d’histoires ». Quelles valeurs et quels secrets doivent-elles apprendre à transmettre à leurs petits-enfants pour les propulser dans la vie ?
Danièle Flaumenbaum a longtemps été gynécologue et acupunctrice. Elle est l’auteur du best-seller Femme désirée, femme désirante.
Vue à la télévision, aux Maternelles sur la 5, je me suis sentie concernée par la problématique des grands-mères d'aujourd'hui. Nous ne sommes pas comme nos mères ou nos grands-mères. Tout est allé très vite depuis mai 68, beaucoup est à (ré)inventer.
Mais quel beau rôle que celui de grand-mère !!! Quel bonheur !
Un livre à lire quand on est mère ou quand on devient grand-mère.
Une majorité de femmes souffrent - souvent sans le savoir - de ne pas avoir la vie sexuelle qu'elles souhaitent : être à l'aise avec les sensations, pouvoir les ajuster à celles du partenaire, bénéficier ainsi des vertus reconstituantes du partage amoureux.Au croisement de la gynécologie, de la médecine chinoise, de la psychanalyse et de l'approche transgénérationnelle, le docteur Flaumenbaum, gynécologue et acupunctrice, s'appuie sur plus de trente ans d'expérience pour expliquer comment les femmes d'aujourd'hui construisent leur sexualité, la place qu'y tient la mère, pourquoi le plaisir ou même le désir sont si peu souvent au rendez-vous, et comment faire pour y remédier.
Un livre qui devrait revigorer les hommes et dynamiser les femmes.
Quand fille-aînée m'a vue lire le précédent, elle m'a prêté celui-là.
Il y a des redites, bien sûr. Mais il est parfois utile de se répéter pour bien se faire comprendre. Transgénéalogie, médecine chinoise : des mots clairs pour approcher la construction de notre sexualité féminine, trop méconnue, peu ou mal enseignée...
Voilà un livre que toutes les femmes devraient lire !
Quel bonheur, la nuit venue, de se réfugier sous la couette ! À deux c'est encore mieux… Quoique...
Passée la séquence aveugle et sourde de la passion, celui ou celle qui chaque soir se glisse à la même place peut se révéler un redoutable ronfleur, un lutteur sournois jamais fatigué de tirer la couverture à lui ou, pire encore, un monstre aux pieds froids.
Conjugal – forcément conjugal – le lit fut longtemps le lieu consacré des moments essentiels d'une vie. On y naissait, on y mourait entouré des siens. Il révèle aujourd'hui les attentes contradictoires du couple qui aspire à un bien-être personnel sans renoncer pour autant à l'amour fusionnel. Comment trouver la bonne distance ?
Comment lire ou se relever à son gré sans gêner l'autre ? Le choix des chambres séparées est souvent mal compris de l'entourage et même de celui ou celle qui en subit la décision.
Spécialiste de l'intime et du quotidien, l'auteur fouille dans le secret des alcôves pour répondre à ces questions qui, pour être traitées ici avec légèreté, n'en suscitent pas moins une réflexion en profondeur.
Vu aussi aux Maternelles.
Partager le même lit ou... pas ? Dans la même chambre ou pas ? Petit, moyen, grand ou très grand le lit ? Même couette ou pas ? Faire toujours pareil, de la rencontre à la fin de vie (commune...) ?
Très intéressant de réfléchir à tout cela. Et... très intéressant de nous apporter l'historique du lit à... la fin du livre !
Depuis quelque temps, rien ne tourne plus rond dans la vie de Joséphine. D'abord, c'est son ex-mari, père de ses deux garçons, qui ne semble pas vraiment d'accord sur le sens à donner au mot « séparation ». Ensuite, c'est l'inspiration qui lui fait faux bond, au moment même ou son nouvel éditeur s'impatiente de lire son prochain livre pour enfants, peuplé comme toujours d'animaux malades. Et puis, ce matin-là, choisissant l'instant ou son banquier l'appelle (pour lui parler de son découvert), c'est son lave-vaisselle qui la lâche. Le début de la fin ? Ou bien... le début d'une nouvelle vie ?
Je voulais lire un lire de cette auteure et je voulais me détendre... La critique parle de mésaventures désopilantes...
On frise parfois l'hystérie. Trop c'est trop tout de même. De plus, l'écriture est bien trop verbeuse.
Quelques passages intéressants, plus calmes, plus vrais. Mais que j'ai eu du mal à aller au bout ! (Vous savez abandonner un livre, vous ? Moi, pas)