Il était important de montrer notre soutien à nos cinémas de quartier
comme nous avons aussi montré celui à nos restaurants et cafés préférés, mais "chut!"
Des films que nous avions projeté de voir il y a des semaines
deux films militants à partir d'histoires vraies

Robert Bilott est un avocat spécialisé dans la défense des industries chimiques. Interpellé par un paysan, voisin de sa grand-mère, il va découvrir que la campagne idyllique de son enfance est empoisonnée par une usine du puissant groupe chimique DuPont, premier employeur de la région. Afin de faire éclater la vérité sur la pollution mortelle due aux rejets toxiques de l’usine, il va risquer sa carrière, sa famille, et même sa propre vie...
Très bien documenté, très prenant
Vous vous surprendrez à regarder votre verre d'eau du robinet ou votre poêle bizarrement
Peut-être un peu long mais un film à voir

Faits réels : lors des Jeux Olympiques d’Atlanta de 1996, un homme, Richard Jewell, agent de sécurité, parvient à donner l’alerte quant à la présence d’une bombe. S’il est trop tard pour déjouer l’attentat, son intervention permet d’éviter que le nombre de victimes ne s’accroisse. Au lendemain de l’explosion, encensé par le pays tout entier, le petit homme joufflu, agent de sécurité zélé, devient très vite le principal suspect du FBI, au motif que son profil coïncide avec une certaine typologie de poseur de bombes (« homme blanc moyen, frustré, souvent ancien de la police ou de l’armée, cherchant à attirer sur lui les lumières et la reconnaissance »). Les médias de masse s’en mêlent : c’est la curée. Entre enquête à charge et presse échevelée, c’est un parcours du combattant ubuesque qui attend Richard Jewell s’il veut obtenir la reconnaissance de son innocence.
Au-delà de la police qui se contente d'un coupable idéal, le jeu de la presse (et, aujourd'hui, il y aurait en plus le terrible jeu des réseaux sociaux) qui cherche à tout prix le sensationnel, la rapidité, l'exclusivité est superbement démontré.
Un homme et sa mère accusés, acculés, détruits pour rien
A voir avec nos jeunes pour en discuter sérieusement....
Plus drôle, quoique...

Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?
Est-ce réellement un temps révolu ?
Ah... les tenues de ces dames et demoiselles... les coiffures... que de souvenirs !
Ah... la scène de déclaration d'amour... celle qu'on n'oserait pas rêver...
En ce jour d'anniversaire de mariage, je la dédie avec ironie à celui qui a largué sans ménagement sa vieille épouse
Ah, le beau côté des manifs...
A voir pour passer un agréable moment