Seventies 5
Voilà cette grille offerte par Cilou terminée
Je vais voir avec fille-cadette en quoi je la finitionne...
Voilà cette grille offerte par Cilou terminée
Je vais voir avec fille-cadette en quoi je la finitionne...
Marion, que je gardais parfois quand elle était petite, est devenue une belle adolescente.
Le sac offert il y a quelques années était devenu trop enfantin.
Elle en voulait un plus dans ce style
Alors, je lui ai confectionné celui-là
le tout bien fermé pour plus de sécurité
avec une petite poche derrière pour mettre la carte de transport
doublé coton avec une petite poche
et il fallait bien le porte monnaie et le porte clés assortis !
Le printemps est là, même si la météo fait parfois des siennes !
à l'intérieur, les bidouilleuses s'activent
Au fil des ouvrages propose une lecture sur le handicap clic sur l'image
et la méditation du jour
Betyle croise un arbre brodé
Brigitte, dite Badou, nous parle d'une maladie rare et effroyable qui touche 200 personnes dans le monde et transforme le malade en "homme-arbre"
la maladie de Lewandowsky-Lutz
Brigitte dite Gigitte 73 plante un bel arbre coloré
Christiane aime le printemps au jardin
Corinne fait broder des verts printaniers
Cristine admire cet arbre qui résiste non loin de chez elle
Edith s'étonne d'une neige de mai en Lozère
Giboulée s'amuse des bidouillages de ses petites-filles
Josiane aime beaucoup son cerisier
Lady Marianne se promène dans les châteaux cathares
et va chez sa maman en Meurthe-et-Moselle
Luna persévère... euh, c'est surtout pour le SAL persévérance qu'elle plante !
Mamounette découvre le nouveau cadre du Grand Hôtel Dieu de Lyon
Maryvonne m'accompagne chaque jour avec son calendrier
on cherche toujours chat et piou...
Nel crée un bonsai de papier
Sophie savoure le calme au jardin
Tortue a du déguster de beaux fruits depuis la photo...
Moi, j'ai pas mal promené le chien de fille-dernière-née dans le petit bois à côté
je suis allée avec Simone au Parc de Rentilly, la preuve
bon, d'accord, Simone n'est pas très grande...
puis je suis allée au parc du Marquenterre
Vous pouvez à tout moment venir planter un arbre avec nous, quelle que soit la technique, quel que soit le modèle, quels que soient les matériaux, quel que soit votre rythme...
Prochain rendez-vous arboricole début juillet
Pour le mois de mai, Brodyzen nous a proposé de rester dans le classique
C'est très intéressant de chercher comment organiser le sens de sa broderie...
Cela vide la tête !
Parfois je pense à toi dans les voitures
Le pire, c'est les voyages, c'est d'aventure
Une chanson fait revivre un souvenir
Les questions sans réponse ça c'est le pire
Je me raconte des histoires pour m'endormir
Pour endormir ma peine et pour sourire
J'ai des conversations imaginaires
Avec des gens qui ne sont pas sur la Terre
Je m'en fous si on a peur que je tienne pas le coup
Je sais que t'es là pas loin, même si c'est fou
Les fous c'est fait pour faire fondre les armures
Pour faire pleurer les gens dans les voitures
Est-ce que tu m'entends ? Est-ce que tu me vois ?
Qu'est-ce que tu dirais, toi, si t'étais là ?
Est-ce que ce sont des signes que tu m'envoies ?
Qu'est-ce que tu ferais, toi, si t'étais là ?
merci Louane pour ces mots
et merci à fille-aînée pour le partage
Se battre contre l'absence de mot
Il manque un mot dans la langue française.
Chaque Français doit pouvoir utiliser sa langue dans les divers domaines de sa vie quotidienne.
Ce droit n’est pas respecté pour le parent qui a perdu son enfant et qui doit répondre de sa situation familiale notamment sur les documents administratifs : Avez vous des enfants ? Combien avez vous d’enfants ?
Le parent d’un enfant décédé est toujours le père ou la mère de cet enfant, alors comment doit-il répondre à ces questions ?
Monsieur Jean Paul Delevoye président du Conseil Economique, Social et Environnemental, vous avez le pouvoir de traiter d’une question particulière via une autosaisine ; c’est pourquoi nous vous sollicitons par voie de pétition citoyenne à encourager une réflexion sur cette absence d'un mot dans notre langue.
Demander au parent de répondre de son statut familial dans la vie quotidienne et sur certains documents administratifs mais ne pas lui permettre de répondre de l’enfant in absentia
c’est l’inciter à renier la mémoire de cet enfant
c’est l’obliger à évoquer la mort pour parler de l’enfant
c’est le condamner à l’isolement par peur du «comment le dire»
c’est amputer le parent de l'amour que l’enfant a fait grandir en lui.
Nous signons cette pétition afin de soutenir et d’encourager cette cause juste et profondément humaine. M.L