Un peu de tout
Les hommes sont omniprésents dans cet immeuble de femmes... dans leurs nostalgies, leurs blessures, leurs colères et leurs désirs enfouis. Cinq femmes d'âges et d'univers différents unies par un point commun fort : elles ne veulent plus entendre parler d'amour et ont inventé une autre manière de vivre ... Jusqu'au jour où une nouvelle locataire vient bouleverser leur quotidien. Juliette est séduite par leur complicité, leur courage et leurs grains de folie. Mais elle, elle, n'a pas du tout renoncé ! Et elle le clame haut et fort. Va-t-elle faire vaciller les belles certitudes de ses voisines ?
Entre humour et gravité
On s'attache à ces femmes-là
Bonne lecture pour cet été
Pétronille Pignon vient de fêter ses 47 ans. Vieille fille, elle habite seule à Paris, dans un bel appartement du 16e arrondissement. Sa famille ? Des quémandeurs qui n’en veulent qu’à son argent. Ses connaissances ? Des râleurs. Ses voisins ? Des personnes infréquentables.
Bref, le niveau de tolérance de Pétronille Pignon est proche de zéro. Surtout, elle n’a besoin de personne pour se gâcher la vie ! Mais le coup bas est venu d’en haut, c’est-à-dire des chambres de bonnes.
Imaginez que dans son immeuble se sont installés une jeune Américaine et… un Mexicain. Un Mexicain !! Le pire, c’est que ces très chers voisins vont changer la vie de Pétronille, pour son malheur. Ou son bonheur ?
Entre humour et gravité aussi
Et si l'amour pouvait tout changer ?
A mettre dans son sac de plage
Dans la famille Larcher, les enfants sont adultes mais tous gardent le même plaisir à se retrouver autour d'une grande tablée. Dan et Valentine ont hérité du virus de la course de leur père, Gabriel, ancien champion automobile, au grand dam d'Albane, leur mère. Nicolas en revanche a depuis longtemps tourné le dos à ce lourd héritage. Pour chacun d'entre eux, la vie s'offre sous un nouveau jour : auront-ils le courage de se lancer dans ces défis professionnels et amoureux ? Gabriel laissera-t-il ses enfants prendre leur envol ?
Ah, la famille ! et ses secrets...
Toujours bien vu, avec une belle écriture plaisante à lire
A mettre aussi dans sa valise d'été
Faisant suite à J’ai tué Schéhérazade et écrit avec la même verve, ce livre de Joumana Haddad dénonce le système patriarcal qui sévit dans le monde arabe et qui s’enracine dans les trois religions monothéistes. En discriminant la femme au sein de la famille et dans la vie sociale, ces religions n’ont pas seulement favorisé le machisme mais l’ont aussi institutionnalisé et sacralisé. Machisme qui, sous les apparences de la force, de la confiance en soi, de l’aplomb, de la fierté individuelle ou clanique, traduit au contraire un profond sentiment d’insécurité et des peurs irrationnelles.
En ce temps de grands bouleversements politiques dans cette région du monde, l’auteure insiste, en mariant confidences, réflexions, traits d’humour et échappées poétiques, sur cette idée que les luttes engagées ces deux dernières années pour la liberté et la dignité n’aboutiront à rien sans l’affirmation progressive d’une “nouvelle masculinité” arabe, c’est-à-dire sans l’établissement d’un rapport radicalement différent entre l’homme et la femme – et entre chacun d’eux et son propre corps.
Rien à voir avec les précédents : c'est du lourd
On peut être choqué par tant de virulence, contre le monothéisme entre autres, mais il faut le lire pour ce qu'il est : un témoignage qui prend aux tripes.
Super bien traduit par une amie, celle qui me l'a offert : la belle langue aide à lire
A vous de voir si vous acceptez d'être bousculé(e)...
Quand elle a épousé le monstre, elle n'avait que vingt-deux ans. Elle admirait sa force, son charme, n'en revenait pas qu'il ait pu la choisir, elle qui n'était pas belle, que personne n'avait jamais remarquée. Quand la police est venue arrêter le monstre, le pays tout entier s'est soudain intéressé à elle, une femme de trente-huit ans, ordinaire. Mais, entre les deux, il y a seize années de vie de couple, seize années durant lesquelles elle a été une mère dévouée, une épouse loyale, une bonne voisine, une femme sans histoire qui ne pouvait pas se douter. A moins que...
Récit à la première personne, la femme
Lecture dérangeante, et pas seulement pour ses scènes crues
Et si, très vite, on comprend qui est cette femme, on a besoin de savoir jusqu'où elle est allée et peut-être ira.
Peut-on tout accepter pour continuer à "paraître" ?
Il y a nettement plusieurs monstres dans cette histoire...
Iris a 36 ans et des idées noires plein la tête : ses parents viennent de disparaître dans un tragique accident et, en une seconde, toute sa vie a basculé. Par un après-midi froid et gris, elle songe même à en finir. Son regard se pose alors sur la devanture d'un café auquel elle n'avait jamais prêté attention auparavant. Son nom étrange, Le plus bel endroit du monde est ici, éveille sa curiosité. L'intérieur est plus intrigant encore, comme sorti d'un rêve. Tout y semble magique, à commencer par Luca, bel Italien porteur d'une promesse : le bonheur.
« Un roman qui sent le chocolat chaud et se lit comme un conte philosophique. » L'Est-éclair
« Magique ! Un petit livre de pensées positives et de poésie. Un vrai roman pour se faire du bien. » Metro (Belgique)
Très beau conte, qui se dévore d'une traite
Un régal
Un inventeur-dépressif rencontre une fille qui disparaît quand on l’embrasse. Alors qu’ils échangent le plus petit baiser jamais recensé, elle se volatilise d’un coup. Aidé d’un détective à la retraite et d’un perroquet hors du commun, l’inventeur se lance alors à la recherche de celle qui « fait pousser des roses dans le trou d’obus qui lui sert de cœur ». Ces deux grands brûlés de l’amour sauront-ils affronter leurs peurs pour vivre leur histoire ? Le plus petit baiser jamais recensé, est un vrai faux polar romantique. Suite métaphorique de La Mécanique du cœur, ce roman teinté de mélancolie regorge de gourmandise explosive. Comme si Amélie Poulain dansait le rock’n’roll et croisait le Petit Prince avec un verre de whisky.
Cela aurait pu être plaisant...
Quelques belles inventions linguistiques...
Je ne suis pas du tout sensible à ce type de "poésie"